• #footer {
        background:url('http://ekladata.com/UlM7AAjkz3Mxv-_evAy25x6k0eU/pdp-fond.png'center top no-repeat;
        height229px;
        padding12px;
        text-aligncenter;
        text-transformuppercase;
        font-size11px;
        color#333;
    }

    /*derniers visiteurs*/

    .module_menu_type_lastvisitors{
        positionabsolute;
        bottom0px;
        margin-left-980px;
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        margin-bottom7px;
    }

    /*module partenaire*/

    #module_menu142755420 {
        positionabsolute;
        bottom0px;
        margin-left-668px;
        width675px;
        height200px;
        margin-bottom15px;
    }

    En gros, la technique c'est que j'utilise mon footer comme module de fond, de lui donne la taille que je veux, le fond et tout. Ensuite je place mes modules en position: absolute, je les place en bottom: 0px pour les coller bas. Une fois en bas, je joue avec les margin pour les déplacer depuis leur position de départ. (Si on les met à left: 10px peut-importe les largeur d'écran le module sera toujours à 20px du bord gauche, et c'est pas pratique du tout! Si tu joues avec les margins il aura la bonne position sur l'écran pour tout les écrans et toutes les largeurs!)

    Si je leur rajoute margin-bottom: Xpx, ça le déplacerait vers le haut, margin-left: Xpx vers la droite et margin-left: -Xpx vers la gauche.

    C'est comme ça que je place mes modules un peu où je veux sur les blogs en général!


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  • 'Choose life'. 'Choose life' was a well meaning slogan from a 1980's anti-drug campaign and we used to add things to it, so I might say for example, choose... designer lingerie, in the vain hope of kicking some life back into a dead relationship. Choose handbags, choose high-heeled shoes, cashmere and silk, to make yourself feel what passes for happy. Choose an iPhone made in China by a woman who jumped out of a window and stick it in the pocket of your jacket fresh from a South-Asian Firetrap. Choose Facebook, Twitter, Snapchat, Instagram and a thousand others ways to spew your bile across people you've never met. Choose updating your profile, tell the world what you had for breakfast and hope that someone, somewhere cares. Choose looking up old flames, desperate to believe that you don't look as bad as they do. Choose live-blogging, from your first wank 'til your last breath; human interaction reduced to nothing more than data. Choose ten things you never knew about celebrities who've had surgery. Choose screaming about abortion. Choose rape jokes, slut-shaming, revenge porn and an endless tide of depressing misogyny. Choose 9/11 never happened, and if it did, it was the Jews. Choose a zero-hour contract and a two-hour journey to work. And choose the same for your kids, only worse, and maybe tell yourself that it's better that they never happened. And then sit back and smother the pain with an unknown dose of an unknown drug made in somebody's fucking kitchen. Choose unfulfilled promise and wishing you'd done it all differently. Choose never learning from your own mistakes. Choose watching history repeat itself. Choose the slow reconciliation towards what you can get, rather than what you always hoped for. Settle for less and keep a brave face on it. Choose disappointment and choose losing the ones you love, then as they fall from view, a piece of you dies with them until you can see that one day in the future, piece by piece, they will all be gone and there'll be nothing left of you to call alive or dead. Choose your future, Veronika. Choose life.  


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  • Vous n'êtes pas votre travail. Vous n'êtes pas votre compte en banque. Vous n'êtes pas votre voiture. Vous n'êtes pas votre portefeuille, ni votre putain de treillis. Vous êtes la merde de ce monde prête à servir à tout.

    Ecoutez moi bande d'asticots. Vous n'êtes pas exceptionnels. Vous n'êtes pas un flocon de neige merveilleux et unique. Vous êtes faits de la même substance organique et pourrissante que tout le reste. Nous sommes la merde de ce monde prête à servir à tout. Nous appartenons tous au même tas d'humus en décomposition.

     

    Comme tant d'autre, j'étais devenu l'esclave de l'instinct du cocooning IKEA.

    Si je voyais une nouveauté ingénieuse comme une table basse représentant le Ying et le Ikeaboy sur le trône Yang, il fallait que je la possède. L'ensemble de bureau Clipske, le vélo d'appartement Hovetreikke ou le salon Omacha avec le motif string à rayures vertes, même les lampes prise Lampa en papier écologique sans agent blanchissant. Je feuilletais les catalogues en me demandant, quelle genre de vaisselle me définie en tant que personne ? J'avais tout, même les bols et les assiettes en verre avec les petites bulles et les imperfections pour prouver que c'était l'œuvre des artisans simples, honnêtes et travailleurs des régions rurales de ; Dieu ne sais où.

    Dans le temps, au toilettes on lisait des revues porno, maintenant c'était les catalogues de mobilier.


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